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Hypnoscope Août 2018 - Actualités Thérapeutiques



Hypnose médicale : une alternative à l’anesthésie de plus en plus crédible - Ra-Santé

L’hypnose médicale constitue aujourd’hui une alternative crédible et fiable à l’anesthésie générale. Au point d’être de plus en plus pratiquée dans les établissements hospitaliers d’Auvergne-Rhône-Alpes. De Grenoble à Lyon, histoires à dormir debout....

Mais bon sang, réveillez-vous !! L’hypnose médicale est en train de faire une entrée fracassante dans le milieu hospitalier. Dans la mouvance de médecines alternatives en plein développement, cette technique ancestrale connaît un regain d’intérêt qui n’a rien d’anecdotique.
Ici, pas de grand show télévisé ni de scène de spectacle. Le décor se veut beaucoup plus sobre. Une salle de consultation ou un bloc opératoire. Quant à l’acteur principal, il n’a ni veste à paillette ni regard translucide. Juste une blouse blanche et l’œil bienveillant.

Hypnose médicale, du rêve à la réalité
A Lyon, une cinquantaine de salariés (médecins, infirmiers, aides-soignants, brancardiers) du centre hospitalier Saint Joseph Saint Luc ont ainsi déjà été formés à l’hypnose. C’est le cas de Jean-Pierre Lavignon, médecin urgentiste dans l’établissement des quais du Rhône. « Certains sont sceptiques sur l’efficacité de la technique mais rares sont les patients qui refusent d’en tester la pertinence. On fait preuve de pédagogie en expliquant que cette pratique ne comporte aucun danger, qu’il s’agit juste d’un état physiologique naturel déclenché par le patient lui-même. Parfois, de dernier conserve les yeux ouverts. Ce n’est pas du micro sommeil ni de la somnolence. Plutôt une forme d’état second ».

Pour parvenir à ce relâchement total, cette déconnection du corps et de l’esprit, le docteur Lavignon a une technique infaillible. « Je demande au patient de se concentrer sur une activité qu’il apprécie. Ce peut être un loisir, un séjour à la mer, à la montagne, une pratique sportive… Virtuellement, j’ai emmené d’autres patients vers la musique et même vers leur passion du tricot ! La personne parvient ainsi à se décontracter, elle se relâche complètement. Elle ne fait qu’écouter ma « musique » de voix en se concentrant sur ces impressions anesthésiques évoquant des odeurs, des couleurs, des bruits, des choses agréables. Lorsque le patient « décroche », il est prêt physiquement et psychologiquement à subir l’intervention ».

Au service des urgences de Saint Joseph Saint Luc, Jean-Pierre Lavignon exerce l’essentiel de son art en traumatologie, pour un doigt ou une épaule luxée par exemple. « Je pratique également régulièrement des ponctions lombaires sous hypnose, des actes traumatisants qui impliquent un fort stress. L’hypnose ne pas faire disparaître complètement la douleur, elle va permettre de la détourner. Voilà pourquoi de telles séances ne durent jamais très longtemps, entre 5 minutes et une demi-heure maximum en fonction de l’état du patient ».
 
L’hypnose pour réduire les drogues anesthésiques
Au groupement hospitalier mutualiste de Grenoble, ils sont sept médecins anesthésistes et autant d’infirmiers anesthésistes à pratiquer quotidiennement l’hypno-sédation, également appelée hypno-analgésie. « J’ai été formé en 2010 à Marseille par l’institut Emergences, explique le docteur Stéphane Bouvier, adepte de l’hypnose ericksonienne, qui interviendra lors d’une conférence-débat grand public gratuite sur l’hypnose médicale le mercredi 17 octobre à 18h30 à l’Université Catholique de Lyon. Au début, c’était par curiosité. A l’époque, l’hypnose médicale était peu développée, peu médiatisée. Après douze jours de formation intensive, j’ai commencé par des coloscopies, puis on a progressivement élargi l’usage de l’hypnose à d’autres types d’interventions : varices, hernies inguinales, tumeurs du sein, cardiologie interventionnelle… ».

Aujourd’hui, le docteur Bouvier pratique en moyenne deux à trois séances d’hypno-sédation par semaine, essentiellement pour des interventions d’ordre gynécologique. « 90% des conisations(NDLR : ablation d’une partie du col de l’utérus) sont réalisées sous hypnose. Le principal intérêt, c’est de limiter au maximum l’injection de drogues anesthésiques, voire ne pas en injecter du tout comme lors de coloscopies. Outre le fait de diminuer la douleur, on réduit aussi l’anxiété avant, pendant et après l’intervention, ainsi que les effets secondaires et les nausées post-opératoires. Enfin, on constate une meilleure récupération des patients qui peuvent ressortir au bout de 2 à 3 heures au lieu de 5 heures après une anesthésie traditionnelle ».
 
Hypnose et douleur
Gain de temps, gain d’argent, confort du patient… Autant d’arguments mis en avant lors du septième congrès « Hypnose et douleur, de la douleur à douceur » organisé en juin dernier à Saint-Malo. Dans leurs conclusions, les 1200 congressistes présents notent que « l’hypno-sédation répond parfaitement aux exigences actuelles de maîtrise des coût de santé et du développement de la chirurgie ambulatoire ». Et de militer pour que « l’hypnose soit reconnue comme un outil thérapeutique complémentaire par les autorités en charge de la santé ».
L’hypnose médicale intégralement remboursée par la Sécurité Sociale ? Pour l’instant, une telle pratique n’est prise en charge que partiellement et sous certaines conditions par l’Assurance Maladie et les complémentaires santé. Mais le ministère compétent garde un œil bienveillant sur cette médecine alternative dans l’air du temps…

En attendant, concrètement, plusieurs établissements hospitaliers et cliniques privées d’Auvergne-Rhône-Alpes proposent déjà à leurs patients une intervention sous hypnose médicale. C’est le cas, dans la grande région lyonnaise, de l’Hôpital Femme-Mère-Enfant, de l’Infirmerie Protestant, de la Clinique du Val d’Ouest, du Centre Hospitalier Saint Luc Saint Joseph, de l’Hôpital de la Croix-Rousse et de l’Hôpital Nord-Ouest de Villefranche, tous financés par la Fondation Apicil. Par ailleurs, l’Université Clermont Auvergne a créé en 2017 un diplôme dédié à l’hypnose. Une trentaine d’élèves en formation initiale (étudiants post-2ecycle) ou en formation continue (médecins, chirurgiens-dentistes, sages-femmes, masseurs-kinés) suivent un programme de 80 heures composé de huit sessions de deux journées.
Pascal Auclair

Hypnoscope Août 2018 - Actualités Thérapeutiques

Stress post-traumatique: bouger les yeux pour aller mieux - Pourquoidocteur

L’EMDR, pour "Eye Movement Desensitization and Reprocessing", est une psychothérapie basée sur les mouvements oculaires. Elle permet d’atténuer les troubles de stress post-traumatique. Mais pas uniquement. La dépression ou les phobies peuvent aussi en bénéficier.

Pas besoin de prendre de l’ecstasy ou encore de la MDMA pour soigner le stress post-traumatique. Il vous suffit de bouger les yeux ! Une thérapie appelée EMDR (pour Eye Movement Desensitization and Reprocessing) s’avère efficace.
Découverte il y a trente ans par la psychologue américaine Francine Shapiro, elle consiste à exercer des stimulations bilatérales alternées (SBA) sur un malade, pendant que ce dernier se remémore l’évènement traumatisant. Selon The Conversation, 80% des personnes atteintes d’un traumatisme dit "simple" sont soignées en une à huit séances d’EMDR. 

Le stress post-traumatique, c’est quoi ?
Le trouble de stress post-traumatique, appelé aussi syndrome de stress post-traumatique (PTSD), est un trouble anxieux qui se développe après un évènement traumatisant, au cours duquel la personne ressent une détresse importante. Cela peut être une catastrophe naturelle, un attentat, un accident de la route, des sévices physiques ou encore sexuels.

On parle de syndrome de stress post-traumatique lorsque la période d’anxiété qui suit l’évènement choquant est anormalement longue. La personne traumatisée revit en permanence cet évènement à travers des souvenirs, des cauchemars. Certaines pensées peuvent virer à l’obsession et provoquer une dépression. D’autres signes peuvent apparaitre: engourdissement émotif, troubles du sommeil, irritabilité, hypervigilance. Selon une étude, le traumatisme pourrait aussi laisser des séquelles héréditaires.

Détacher le souvenir du traumatisme
L’EMDR est une thérapie qui agit sur les souvenirs hantant la personne atteinte de syndrome de stress post-traumatique. Le professionnel de santé applique des stimulations bilatérales appliquées (SBA) pendant que le patient se souvient de l'évènement choquant.
Il s’agit de mouvements des yeux allant de droite à gauche et de gauche à droite. Mais il y a aussi des sons, des "bip" qui parviennent d’une oreille à l’autre. Et des tapotements d’une partie du corps (la main ou le genou) d’un coté, puis de l’autre. Ensuite, le thérapeute arrête toute stimulation et le patient doit décrire son ressenti. Puis, les SBA reprennent, et cela pendant plusieurs séances. Jusqu’au jour où le souvenir du patient n’est plus lié à quelque chose de traumatisant.

L’EMDR modifie la perception du cerveau sur le souvenir
Quand un souvenir est traumatisant, il n’est pas traité par le cortex dans le cerveau, mais dans le cerveau limbique, la partie du cerveau liée aux émotions. En quelque sorte, l’EMDR permet de "recoder" l’information traumatique et de la remettre à la bonne place pour être traitée.
Les mouvements oculaires permettent de diminuer la charge émotionnelle du souvenir. Ainsi, l’amygdale, partie du cerveau liée au sentiment de danger ou de peur, n’est plus activée. Et c’est lorsque cette dernière n’est plus activée que le traumatisme disparait. Lorsque l’on subit un petit choc, ce processus de restructuration se fait naturellement. Mais en cas de gros traumatisme, ce n’est pas le cas. Et les symptômes de stress post-traumatique apparaissent.
Certains thérapeutes utilisent l’EMDR pour traiter aussi les phobies, les addictions ou encore la dépression. En juin dernier, des chercheurs de l’Inserm ont constaté que cette technique pouvait être bénéfique pour réduire le stress des patients reçus aux urgences.
Johanna Hébert 

Hypnoscope Août 2018 - Actualités Thérapeutiques

L’hypnose qui soigne - Radio Canada

C'est une pratique encore marginale dans le milieu de la santé, chez nous. Mais l'hypnose permet aux soignants d'aider leurs patients à ressentir moins de douleur. La science, d'ailleurs, comprend de plus en plus précisément ce qui explique ces succès.

Un texte de Jean-François Bouthillette, des Années lumière
À l’occasion du 21e Congrès mondial d’hypnose médicale et clinique, des chercheurs et soignants de partout dans le monde ont convergé vers Montréal. Parmi eux, des dentistes, psychologues et médecins qui ont en commun l’utilisation de techniques d’hypnose pour aider leurs patients.
La psychologue Clarisse Defer travaille auprès de patients atteints de cancer au service de radio-oncologie de l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont, à Montréal. Pour elle, l’hypnose est un outil qui permet d’aider ses patients à vivre avec leur cancer et les traitements envahissants qu’ils reçoivent.
Dans son bureau, elle hypnotise les patients qui le souhaitent. D’une voix grave, d’un ton lent, elle les amène à se glisser dans un état de calme et de bien-être.

« J’invite la personne à s’asseoir, à fermer les yeux. En accompagnant le mouvement de sa respiration, je vais lui proposer, sous la forme de suggestions, par le choix de mots apaisants, de rentrer dans cet état de conscience modifiée, décrit par les patients comme un moment d’absorption, où l’on est plus à l’intérieur de soi, moins conscient de l’environnement extérieur », explique Clarisse Defer.
Pas d’inquiétude à avoir, précise-t-elle : il ne s’agit pas d’une prise de contrôle de l’esprit du patient par autrui. Il s'agit plutôt d’accompagner le patient pour qu’il atteigne lui-même cet état d’absorption – qu’il pourra idéalement atteindre bientôt seul, sans son aide.
« Je peux aussi leur suggérer de laisser leur esprit voyager dans un endroit agréable », ajoute-t-elle. Les traitements potentiellement anxiogènes, voire traumatisants, passent ainsi plus facilement.

Jusqu’à des chirurgies sans anesthésie générale
Au-delà de l’anxiété, l’hypnose permet de réduire la douleur des patients. Non seulement de la rendre moins menaçante, ou moins envahissante, mais bien d’agir directement sur l’intensité de la douleur.

Une illustration spectaculaire de cela peut être trouvée dans les travaux de l’anesthésiste Marie-Elisabeth Faymonville, directrice du Centre de la douleur du Centre hospitalier universitaire (CHU) de Liège, en Belgique.
Cette spécialiste de la douleur est célèbre pour avoir mis au point la technique de l’hypnosédation. En plongeant des patients en état d’hypnose, elle est parvenue à permettre des chirurgies importantes (opération à la thyroïde, mastectomie, greffe) qui requièrent habituellement une anesthésie générale, non dénuée d’effets secondaires et de risques.

« Le patient est placé dans cet état d’hypnose, de conscience modifiée. L’équipe chirurgicale complète avec une simple anesthésie locale, limitée au territoire où il travaille. En cas de besoin, l’anesthésiste peut donner un médicament antidouleur en intraveineux. Mais, toujours, le patient reste conscient. Conscient, mais mentalement absent du bloc opératoire », dit Marie-Elisabeth Faymonville.
D’autres usages des vertus analgésiques de l’hypnose, moins spectaculaires, sont néanmoins pleins de promesses en santé. La gestion de douleurs chroniques avec moins de médicaments, par exemple.

Explications scientifiques

Pendant que les résultats en clinique s’accumulent et sont abondamment documentés, la science comprend de mieux en mieux ce qui se passe dans le cerveau d’un patient hypnotisé.
Les appareils d’imagerie permettent d’observer que le cerveau se transforme quand un patient est en état d’hypnose

«On a vu que la façon dont le cerveau reçoit l’information douloureuse change drastiquement quand on est en hypnose. On a même constaté que le réseau de la douleur dans le cerveau, qui s’active quand on a mal, travaille autrement quand on est en hypnose. C’est dire que les connexions, à l’intérieur du cerveau, se modifient!»
—Marie-Elisabeth Faymonville

Le chercheur Pierre Rainville explore lui aussi l’effet de l’hypnose sur la douleur. Dans son laboratoire de neuropsychophysiologie de la douleur, au Centre de recherche de l’Institut universitaire de gériatrie de Montréal, il compare ce que vivent des participants hypnotisés ou non hypnotisés devant les mêmes stimuli douloureux.

Son équipe et lui ont mesuré que les patients sous hypnose – à qui l’on fait des suggestions dans le sens d’une analgésie – tolèrent mieux la douleur infligée par de l’eau chaude ou des petits courants électriques. Ils rapportent, après coup, avoir fait l’expérience d’une douleur moindre que les participants non hypnotisés.
Mais les mesures de Pierre Rainville vont au-delà de ces rapports subjectifs par les participants. Il mesure même davantage que l’activité des différentes zones du cerveau.

« Non seulement le cerveau réagit moins, mais on mesure des réponses physiologiques périphériques, dit Pierre Rainville. Le rythme cardiaque, par exemple – qui, normalement, augmente avec la douleur –, augmente moins. Des réflexes moteurs de protection vont être atténués, ce qui témoigne d’une activation des mécanismes de régulation du cerveau vers le tronc cérébral et la moelle épinière. [...] L’effet va au-delà de la seule interprétation de la douleur ; ça peut atténuer le traitement du signal sensoriel dès son entrée dans le système nerveux au niveau de la moelle épinière. »
L’hypnose est plus utilisée dans le domaine de la santé en Europe qu’au Canada. Là-bas, des universités ont déjà intégré ces techniques à la formation de psychologues, de dentistes, d’anesthésistes ou d’infirmières.

Rédigé le Mardi 11 Septembre 2018 à 17:31 | Lu 399 fois modifié le Lundi 26 Août 2019




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