Collège d'Hypnose de Paris: une Formation en Hypnose Ericksonienne, Médicale, EMDR à Paris.
Formation Hypnose à Paris

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Collège d'Hypnose de Paris: Formation en Hypnose Médicale et Paramédicale, Hypnothérapie, Hypnose en Douleur Aiguë et Chronique, Hypnose Ericksonienne, Formation EMDR à Paris

Hypnoscope Août 2015 - Actualités Therapeutiques


Retrouvez toute l'actualité de l'hypnose !


Il va juste paraitre à l'occasion du Congrès !

Le CHTIP a le plaisir de vous annoncer la sortie du livre du Dr Philippe Aïm, responsable de formation : 
Ecouter, parler : soigner
Guide de communication et de psychothérapie à l'usage des soignants


Comment établir une communication efficace ? 

Une communication thérapeutique menant à une relation de confiance est fondamentale dans toute situation d’aide ou de soin, tant physique que psychique. Les messages qui passent sont alors porteurs d’espoir, de sécurité et de changement. La relation soignant-soigné, dont on nous parle souvent sans vraiment nous donner de moyens concrets pour y faire face, gagnerait en qualité, en humanité et en confort de travail.

Cet ouvrage fait le pari que des concepts utiles  et des outils concrets dans ce domaine peuvent être expliqués de façon pratique et précise. L’état d’esprit et les bases psychologiques nécessaires à leur maniement sont rendues simples et accessibles. 

L’auteur s’appuie sur les thérapies « brèves », connues pour avoir développé des outils de communication et de relation comme éléments centraux de leur pratique.

Ce livre s'adresse à tous les soignants (médecins, psychologues, infirmiers, sages-femmes…) et aux professionnels de la relation d’aide.

 


Opération sous hypnose: "On est conscient de tout ce qui se passe autour" - L'Express

Cynthia M., 40 ans, a subi une mastectomie à l'Institut Curie sous hypnosédation, une alternative à l'anesthésie générale. L'Express a assisté à l'intervention. Reportage.

C'est un filet de voix à peine audible qui s'échappe de la bouche d'Aurore Marcou, anesthésiste et hypnothérapeute. Presque un murmure qui vient se heurter légèrement au masque bleu qui lui barre le visage. "Respirez. Vous allez souffler tout doucement en vous concentrant sur vos différents muscles." Il est 9h, un matin gris de juillet. Une opération sous hypnose débute dans la salle 4 du bloc opératoire de l'Institut Curie à Paris. 

Cynthia M., 40 ans, a beau avoir les yeux fermés, elle va rester consciente pendant toute la mastectomie qu'elle s'apprête à subir au sein gauche. La jeune femme a choisi de se faire opérer de son cancer du sein sous hypnosédation, une technique anesthésique combinant une anesthésie locale, l'administration de calmants et un accompagnement par l'hypnose. Un drap vert s'élève sous son menton et la sépare de Séverine Alran, la chirurgienne, et de son équipe, qui s'activent de l'autre côté. Deux mondes parallèles mais très coordonnés qui fonctionnent en binôme rodé. 

"Je sens quelque chose, c'est normal?"

Allongée sur la table d'opération, le sein gauche délimité par des traits de feutres noirs, le corps fatigué par plusieurs séances de chimiothérapie, la patiente ne bougera pas pendant l'heure que va durer l'intervention. A peine lancera-t-elle à un moment, presque en chuchotant: "Je sens quelque chose, c'est normal?" Pas parce qu'elle avait mal, juste pour prévenir les médecins, "au cas où", nous expliquera-t-elle en salle de réveil après l'opération. Car sous hypnosédation, la patiente garde la sensation du toucher non-douloureux, que l'on pourrait comparer à ce que l'on peut ressentir sous anesthésie locale chez le dentiste. 

Pour l'aider à passer dans cet état entre le rêve et l'éveil, le docteur Marcou se "sert de ce qui fait du bien à chaque patient individuellement, de ce qui va l'aider à accéder à ses ressources intérieures", avec une grande douceur et un calme imperturbable. Ce qui leur permet de faire abstraction de l'environnement sonore et visuel. Dans le cas de Cynthia M., la nature et le jardinage qu'elle affectionne particulièrement ont servi de trame. "Vous êtes face à un arbre particulièrement grand. Regardez ses racines qui plongent dans la terre. Imaginez tout le travail qu'elles effectuent pour s'enfoncer dans le sol jusqu'à la nappe phréatique profonde..." 

"Parler peu et éviter les mots anxiogènes"

Pendant toute l'intervention, l'anesthésiste-hypnothérapeute est restée assise sur un tabouret, la tête à la hauteur de la patiente, lui touchant par moment le bras ou la tête, pour la mettre en confiance. Tout est fluide, très discret, comme lorsqu'elle indique par gestes que l'on coupe le son trop bruyant d'une machine ou qu'elle demande à ses collègues de parler un peu moins fort.  

L'arrivée de l'hypnose dans les blocs opératoires oblige le personnel soignant à faire évoluer ses pratiques. "En tant que chirurgienne, cela me demande une concentration supplémentaire. Opérer une personne consciente nécessite de maîtriser son langage et ses gestes, de parler peu et sans employer de mots anxiogènes, afin de créer un climat de sérénité. C'est un vrai travail d'équipe", décrypte le docteur Alran, chirurgienne-oncologue très à l'écoute de ses patientes. "Je ne le propose pas à tout le monde et je ne l'impose pas", précise-t-elle.  

"Le confort des patients"

Cynthia M. a découvert l'hypnose grâce à l'équipe soignante de chimiothérapie pour l'aider à gérer son anxiété. C'est la patiente elle-même qui a proposé d'effectuer la mastectomie sous "hypnosédation". "J'appréhendais juste de sortir de l'état d'hypnose pendant l'opération et d'être prise d'un mouvement de panique. Mais j'avais confiance en l'équipe, je me suis laissée aller", confie-t-elle, en précisant qu'elle était bien consciente, entendant "tout ce qui se passait autour" d'elle.  

L'hypnosédation se prête particulièrement aux personnes fragiles présentant une vulnérabilité par rapport à l'anesthésie générale comme les personnes âgées, mais également aux patients de tout âge souhaitant récupérer rapidement d'une intervention, ou tout simplement ceux souhaitant vivre leur intervention en tant qu'acteur de leur soin. Elle permet de minimiser les risques associés à l'anesthésie générale: troubles de la mémoire, risques cardiaques et respiratoires, réveil difficile, désorientation, nausées et vomissements. "La récupération post-opératoire est rapide, résume le docteur Alran. C'est avant tout pour le confort des patients que nous proposons cette technique." Toutes les opérations chirurgicales ne peuvent pas être concernées. "Il faut que ce soit une chirurgie de surface pour laquelle on puisse assurer une analgésie suffisante." Comme la chirurgie du sein ou ORL. A l'Institut Curie, près d'une centaine d'interventions de chirurgie du cancer du sein sous hypnosédation ont déjà été pratiquées.  

"Vous avez été incroyable!"

En est-on pour autant tous capables? "L'hypnose est un mode mental dont notre cerveau a l'habitude. C'est comme lors d'un trajet en train où on laisse son esprit s'échapper et que l'on fait abstraction de l'environnement, en se laissant absorber par son milieu intérieur", rassure le Dr Marcou. Et un filet de sécurité est prévu. Les patients bénéficient des mêmes conditions de préparation et de surveillance qu'une anesthésie générale. En cas de besoin, l'équipe d'anesthésie peut passer sans difficulté d'une technique à une autre. Ce qui arrive très rarement, dans 1% des cas.  

A la fin, l'état d'hypnose est reversé doucement pour faire revenir progressivement la patiente dans la réalité. Dans le bloc opératoire 4 de l'Institut Curie, le Dr Marcou n'est plus la seule à s'adresser directement à Cynthia M. "L'intervention touche à sa fin, il y a juste la fermeture à faire. Tout s'est très bien passé. Mme M., vous avez été incroyable!", sourit ainsi le Dr Alran. "L'avantage sans anesthésie générale, c'est qu'après, elle peut être active et participer", conclut la chirurgienne. Cynthia M. se redresse tranquillement pour que l'équipe médicale lui fasse le pansement, le visage traversé par un sourire quand on lui parle. Elle est sereine. Encore une nuit à passer à l'hôpital et elle pourra rentrer chez elle.

 

 


Quand l’hypnose nous soulage…

« Ton conscient est très intelligent, mais, à côté de ton inconscient, il est stupide. »

Milton Erickson

L’hypnose dont nous allons parler n’est pas l’hypnose de spectacle lancée par les charlatans ni l’hypnose traditionnelle basée sur la suggestion.

L’hypnose existe depuis des décennies et a été utilisée par Jean-Martin Charcot, Hippolyte Bernheim et Sigmund Freud pour traiter les femmes hystériques. Puis elle a été abandonnée au profit d’autres techniques et thérapies.

De nos jours, on assiste au grand retour de l’hypnose, surtout ericksonienne. Cette technique thérapeutique est classée parmi les thérapies brèves les plus efficaces pour plusieurs problèmes de santé qu'ils soient physiques ou psychiques.

L’hypnose semble avoir le vent en poupe à travers les différents écrits, les forums sur le net, les conférences. Elle est aussi redécouverte par les psychologues, les psychiatres, les sexologues et les psychothérapeutes.

Qu’est-ce que l’hypnose ericksonienne ?

Cette pratique mettrait en jeu les capacités les plus complexes du cerveau. On pourrait avancer le fait qu’avec cette technique on communique avec certaines zones du cerveau lorsqu’il représente un état modifié de la conscience afin d’aboutir au résultat attendu.

Ce n’est pas un état de sommeil, mais un état modifié de conscience, comme le rêve, la transe, la relaxation, les expériences mystiques ou la méditation.

Utilisée en psychothérapie, elle se situe dans une optique courte : trois à dix séances, sur une durée de quelques semaines à quelques mois sont suffisantes, même pour des problèmes lourds et cela sans « rechute » ou « substitution de symptôme ».

Lors de cet état modifié de la conscience, corps et esprit entrent dans un état de transe, une transe pas comme celle qu’on voit dans la Hadhra et les autres rituels des marabouts, c’est une sorte de voyage dans un monde de symbolique où le corps s’exprime pour libérer la souffrance.

Elle sollicite la participation active du patient. Il s'agit plus d'un état de profonde relaxation, pendant lequel le patient va pouvoir s'exprimer librement. Le thérapeute utilise des métaphores, c'est-à-dire un langage symbolique, pour guider l'inconscient du sujet et l'amener à trouver lui-même les solutions à ses problèmes.

Lors de la séance d’hypnose, on peut assister à une résistance de la part du patient, qui peut soit être active (le patient n’est pas coopératif, ne veut pas guérir), soit passive (le patient résiste sans en être conscient).

Il faut faire attention aux améliorations trop rapides car cela peut être un changement transitoire et superficiel et peut renvoyer à un refus inconscient de guérison.

Les champs d’application de l’hypnose :

L’hypnose s’applique à plusieurs problèmes de santé et donne de bons résultats si on a un bon thérapeute qui maîtrise cette technique et un patient coopératif qui veut vraiment guérir.

L’hypnose semble être efficace pour :

Traiter la dépression

Se libérer des dépendances comme le tabac, l’alcoolisme et la dépendance amoureuse

Troubles anxieux, stress

Phobies

Confiance en soi

Préparation aux examens

Travail sur le deuil

Travail sur les violences et les séquelles de traumatismes

Préparation à une intervention chirurgicale, résolution d'une phobie des soins médicaux ou dentaires, perception de la douleur, accouchement

Le bruxisme   (serrer les dents, grincer des dents)

La succion du pouce

Troubles psychosomatiques

Douleurs chroniques.

Les troubles sexuels

La migraine

La perte de poids

Existe-t-il un risque à utiliser l’hypnose ?

Certes, l’hypnose relève du monde des mystères, c’est un outil pour accéder à notre inconscient qui nous effraie tant. Le danger ne réside pas dans l’accès à l’inconscient mais dans l’utilisation de ce qu’on va découvrir et des compétences de l’hypnothérapeute.

En effet, ce qui est dangereux c’est la personne qui se prétend "thérapeute", qui n’a pas la compétence et les qualités humaines et professionnelles pour pratiquer une thérapie (hypnotique ou non) et qui ne possède pas de diplômes ("médecin", "psychologue" ou "psychothérapeute"…)

 Mais, l'hypnose en elle-même, comme phénomène, est parfaitement inoffensive.

Et en Tunisie ?

L’hypnose est une technique assez méconnue en Tunisie mais elle commence à avoir une place dans le champ des psychothérapies brèves.

Cette pratique est surtout utilisée dans les cabinets privés par des psychologues, des psychiatres et des sexologues mais quasi absente du milieu hospitalier.

Malheureusement, il n’existe pas encore d’annuaire des praticiens et c’est une grande lacune à laquelle ces derniers essaient de remédier.

Par Rania Klibi


Rédigé le Jeudi 20 Août 2015 à 16:14 | Lu 450 fois modifié le Jeudi 20 Août 2015

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La CFHTB regroupe des Instituts Milton Erickson et des associations de praticiens travaillant dans le champ de l’hypnose et des psychothérapies brèves.
Elle représente environ 3000 professionnels de France, Belgique, Suisse et Québec.



Comment reconnaître une "bonne" formation à l'hypnose ?

L'hypnose, en tant que technique de soins, est de plus en plus reconnue, de nombreuses publications scientifiques lui sont consacrées et ont montré l'efficacité de cette technique, les neurosciences donnent une assise encore plus scientifique à l'hypnose en montrant qu'il se "passe quelque chose" d'identifiable au niveau cérébral pendant l'hypnose, l'académie de médecine reconnaît dans un rapport récent qu'il s'agit d'une thérapie qui a montré son efficacité dans les soins douloureux ou dans des troubles psychiques tels le psychotraumatisme, et le dernier rapport de l’INSERM fait le tour d’un grand nombre de publications qui attestent de son intérêt en situations de soins...


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