D’après notre enquête interne (évaluation à froid un an après la formation pour le référentiel Qualiopi sur 2024), 92% des professionnels de santé que nous avons formés dans notre institut disent pratiquer très régulièrement l’hypnose médicale et thérapeutique !
Ce chiffre est bien entendu très flatteur pour notre institut.
Plusieurs réflexions à ce sujet, car Il existe quelques paramètres à bien comprendre pour analyser ces chiffres :
1. Les professionnels de santé installés en libéral pratiquent plus que ceux en institution (contraintes de temps, d'équipe ou de hiérarchie peuvant limiter l'usage de l'hypnose dite "formelle", "de séances longues").
2. 92% des praticiens formés ont totalement intégré cette pratique à leur activité clinique, et ont considérablement amélioré leur communication avec leurs patients, rendant ainsi leur pratique professionnelle bien plus efficace.
On parle alors d’hypnose dite intégrative.
3. 94% des professionnels travaillant sur la douleur procédurale (douleur liée au soin), ont totalement intégré l’hypnose à leur pratique.
4. Les séances plus longues et plus formelles sont surtout l’apanage des professionnels de la thérapie.
Ce chiffre est bien entendu très flatteur pour notre institut.
Plusieurs réflexions à ce sujet, car Il existe quelques paramètres à bien comprendre pour analyser ces chiffres :
1. Les professionnels de santé installés en libéral pratiquent plus que ceux en institution (contraintes de temps, d'équipe ou de hiérarchie peuvant limiter l'usage de l'hypnose dite "formelle", "de séances longues").
2. 92% des praticiens formés ont totalement intégré cette pratique à leur activité clinique, et ont considérablement amélioré leur communication avec leurs patients, rendant ainsi leur pratique professionnelle bien plus efficace.
On parle alors d’hypnose dite intégrative.
3. 94% des professionnels travaillant sur la douleur procédurale (douleur liée au soin), ont totalement intégré l’hypnose à leur pratique.
4. Les séances plus longues et plus formelles sont surtout l’apanage des professionnels de la thérapie.
Nous sommes très fiers de ces résultats, bien au-dessus de ceux d’autres instituts.
Est-ce notre enseignement qui serait bien plus approprié et plus proche du terrain clinique ?
Est-ce parce que nous allons à l’essentiel, sans bla-bla inutiles ? Depuis 2021, nous avons allégé le temps d’apprentissage avec 50% de théorie en moins.
Nous nous sommes d’ailleurs séparés de « formateurs philosophes-théoriciens » avec trop peu d'expérience clinique.
Est-ce parce que la pratique compose dorénavant 70% de notre enseignement ?
Est-ce parce que tous nos enseignants sont des cliniciens et non pas des formateurs professionnels théoriciens non-pratiquants depuis des années ?
A titre d’exemple, dans notre équipe, Florent HAMON infirmier anesthésiste, travaille au bloc tous les jours en intégrant l’hypnose. Que ce soit Laurence ADJADJ, Sophie TOURNOUËR ou Claire DAHAN, elles travaillent toutes en EMDR Intégrative et en Approche Centrée Solution quotidiennement auprès de publics variés...
Qui mieux que Michèle FOURCHON, médecin sénologue pour nous apprendre à travailler tout au long du parcours de soins avec les patientes présentant un cancer du sein ?
Et moi-même, qui n'ai "que 40.000 actes" en hypnose et EMDR à mon actif depuis 1995.
C'est la richesse de notre expérience quotidienne qui nous permet de parler, de travailler sur des cas cliniques rencontrés récemment.
Nous sommes ainsi des cliniciens avec des dizaines d'années d'expérience, qui enseignons notre pratique en rapport avec la théorie que vous pouvez apprendre... dans les livres.
Nous n’avons pas la réponse, à la question "pourquoi les chiffres sont si bons ?", mais ce qu’il ressort de cette étude à froid pour Qualiopi nous renforce dans notre plaisir de transmission (ou de transe mission).
OK... ? On continue !
Est-ce parce que nous allons à l’essentiel, sans bla-bla inutiles ? Depuis 2021, nous avons allégé le temps d’apprentissage avec 50% de théorie en moins.
Nous nous sommes d’ailleurs séparés de « formateurs philosophes-théoriciens » avec trop peu d'expérience clinique.
Est-ce parce que la pratique compose dorénavant 70% de notre enseignement ?
Est-ce parce que tous nos enseignants sont des cliniciens et non pas des formateurs professionnels théoriciens non-pratiquants depuis des années ?
A titre d’exemple, dans notre équipe, Florent HAMON infirmier anesthésiste, travaille au bloc tous les jours en intégrant l’hypnose. Que ce soit Laurence ADJADJ, Sophie TOURNOUËR ou Claire DAHAN, elles travaillent toutes en EMDR Intégrative et en Approche Centrée Solution quotidiennement auprès de publics variés...
Qui mieux que Michèle FOURCHON, médecin sénologue pour nous apprendre à travailler tout au long du parcours de soins avec les patientes présentant un cancer du sein ?
Et moi-même, qui n'ai "que 40.000 actes" en hypnose et EMDR à mon actif depuis 1995.
C'est la richesse de notre expérience quotidienne qui nous permet de parler, de travailler sur des cas cliniques rencontrés récemment.
Nous sommes ainsi des cliniciens avec des dizaines d'années d'expérience, qui enseignons notre pratique en rapport avec la théorie que vous pouvez apprendre... dans les livres.
Nous n’avons pas la réponse, à la question "pourquoi les chiffres sont si bons ?", mais ce qu’il ressort de cette étude à froid pour Qualiopi nous renforce dans notre plaisir de transmission (ou de transe mission).
OK... ? On continue !