Et s’il suffisait parfois de se taire ?... Mais comment, sans les mots, suggérer et soigner ?... Et si cette pratique donnait des résultats encore plus puissants ?...
En tant que médecin et hypnothérapeute avec des patients sourds, le Dr Bouillevaux a développé plus que quiconque une pratique hypnotique non-verbale très avancée, qu’elle nous fait partager lors de ces deux jours exceptionnels.
En tant que médecin et hypnothérapeute avec des patients sourds, le Dr Bouillevaux a développé plus que quiconque une pratique hypnotique non-verbale très avancée, qu’elle nous fait partager lors de ces deux jours exceptionnels.
S'inscrire à la Formation
Durée de la formation
2 jours
Prochaine session: Dates à venir
Prérequis
Etre un professionnel de la santé et du soin et être formé à l’hypnose au CHTIP, UTHyL, à l’IFH ou dans un institut de la CFHTB.
Tarifs
* Individuel : 460€
* Convention de formation continue : 600€
Lieu de la formation
Le 210
210 rue du Faubourg Saint-Antoine
75012 Paris
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2 jours
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Etre un professionnel de la santé et du soin et être formé à l’hypnose au CHTIP, UTHyL, à l’IFH ou dans un institut de la CFHTB.
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* Individuel : 460€
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Intervention d'Isabelle Bouillevaux au Congrès Mondial d'Hypnose à Paris en 2015: "Peut-on faire de l’hypnose en langue des signes (LSF) ?"
Peut-on le faire avec un interprète si on ne parle pas soi-même la LSF, et comment s'y préparer?
Quelles sont les spécificités du travail avec les Sourds et de la LSF par rapport à une autre langue ?
Comment fait-on de l’hypnose (ou de la thérapie brève) sans les mots prononcés comme nous en avons l’habitude ?
Quel est le gain pour le patient et pour le thérapeute qui va à sa rencontre ?
La souffrance psychique chez les sourds est sous estimée, notamment parce qu’ils consultent peu, de peur de ne pas être "entendus" ou que les soins ne leur soient pas adaptés. Assez peu de thérapeutes s'intéressent ouvertement à la question. Leur histoire, leur culture et leur langue ont pourtant des aspects enrichissants et passionnants. A partir d’une vidéo de séance d’hypnose en LSF avec un patient sourd, nous verrons les spécificités et points communs dans la transe. A partir d’une séance où le thérapeute est accompagné d’un interprète, nous découvrirons comment nous adapter pour cet exercice particulier et prendre chacun sa place. Il est tout à fait possible, sans maîtrise de la LSF, de pratiquer la thérapie, celle que l'on pratique habituellement, y compris l'hypnose, et cela reste la relation thérapeute patient qui est à l'œuvre. L’interprète est nos mains et la voix du patient. Il suffit de s'y intéresser un peu et de vouloir "parler le langage du patient", notamment sur le plan non verbal, pour pouvoir y parvenir, et aider "comme tout le monde" ces patients (presque) comme les autres...
Quelles sont les spécificités du travail avec les Sourds et de la LSF par rapport à une autre langue ?
Comment fait-on de l’hypnose (ou de la thérapie brève) sans les mots prononcés comme nous en avons l’habitude ?
Quel est le gain pour le patient et pour le thérapeute qui va à sa rencontre ?
La souffrance psychique chez les sourds est sous estimée, notamment parce qu’ils consultent peu, de peur de ne pas être "entendus" ou que les soins ne leur soient pas adaptés. Assez peu de thérapeutes s'intéressent ouvertement à la question. Leur histoire, leur culture et leur langue ont pourtant des aspects enrichissants et passionnants. A partir d’une vidéo de séance d’hypnose en LSF avec un patient sourd, nous verrons les spécificités et points communs dans la transe. A partir d’une séance où le thérapeute est accompagné d’un interprète, nous découvrirons comment nous adapter pour cet exercice particulier et prendre chacun sa place. Il est tout à fait possible, sans maîtrise de la LSF, de pratiquer la thérapie, celle que l'on pratique habituellement, y compris l'hypnose, et cela reste la relation thérapeute patient qui est à l'œuvre. L’interprète est nos mains et la voix du patient. Il suffit de s'y intéresser un peu et de vouloir "parler le langage du patient", notamment sur le plan non verbal, pour pouvoir y parvenir, et aider "comme tout le monde" ces patients (presque) comme les autres...